Info-Territoire de Beni:

Info-Territoire de Beni:

2pers arretees a Kamango chef lieu de la chefferie de Watalinga en Terr de Beni dont Mrs KAMBALE FATAKI 26 ans, KAMBALE SAMUEL 23 ans sont collaborateurs de l’ADF, tous originaires d’Eringeti, en sect de Beni Mabu Chargé d’espionner, identifier et verifier les pistes qui existe entre Mbau – Kamango, et avaient comme mission d’etablir les effectif FARDC de oicha à eringeti ils disent être au service des Lt Col ABOUBAKAR(UPDF) base a district de Bundibudjo et Lt Col MAWA(UPDF) ancien Gouverneur de Kasese Ouganda.

( reçu inbox ) Affaire à suivre.

Nous avons toujours dis que nous sommes victimes de l’agression Ouganɗo-Rwandaise ici à Beni.

La CRDH poursuit sa lutte pour la paix à Beni

Nord-Kivu,BENI. Au moin 2personne sauvagement egorge par de présumé ADF,à Alungupa

 

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Nord-kivu,BENI. Au moin 2personne sauvagement egorge par de présumé ADF,à Alungupa une localité situé à une dizaine de km de la ville de Beni nous somme vendredi le 07/10/2016.


Le président de la société civile de mutwanga Gilbert kambale condamné cette attaque qui s’emplerait cible l’axe routière kasindi-Beni, du triangle de la mort nous passont vers le rectangle de la morts,parce que c de cette route k nous recevons le produit de premiere nécessite at’il souligne.


La MONUSCO et la FARDC c dit tjrs déterminé.

Le Phare: «La CIRGL, l’ONU, l’UA et la SADC au chevet de la RDC à Luanda»

Les quotidiens et journaux de la presse kinoise.

Le sommet annoncé de la CIRGL en Angola sur la crise politique en RDC et la réaction du gouvernement congolais à la mesure prise par la Belgique de réduire la durée des visas octroyés aux responsables congolais porteurs de passeports diplomatiques sont parmi les sujets commentés par les journaux parus ce vendredi 7 octobre à Kinshasa.

A l’initiative de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), une importante réunion sur la crise politique congolaise est annoncée pour le 26 octobre 2016 à Luanda, rapporte Le Phare. Cette rencontre, rapporte le quotidien, va intervenir après celle que l’Union Européenne va tenir le 17 octobre à Bruxelles, en vue de l’adoption, par ses membres, d’une position commune face la situation politique qui prévaut actuellement en RDC.

De l’analyse du quotidien, la tenue de ce sommet international sur la RDC à Luanda est un indice important de l’échec du dialogue de la Cité de l’Union Africaine (Cité de l’OUA) piloté par le togolais Edem Kodjo. Le journal fait d’ailleurs remarquer qu’au lieu de 15 jours, le forum de la cité de l’OUA a déjà « glissé » de 21 jours faute de compromis.

Par conséquent, la communauté internationale veut, à travers ce sommet, se saisir du dossier politique du grand Congo et tenter de trouver une voie de sortie pour lui éviter le chaos qui se profile à l’horizon du 19 décembre, croit savoir le quotidien.

Selon L’Avenir qui commente cette actualité, le sommet de Luanda va discuter des derniers événements en RDC. Le Journal dit tenir cette information, du chef de la diplomatie angolaise en personne. Cependant, s’interroge le quotidien, que va proposer ce sommet dans un contexte politique dominé par la méfiance totale?

Le journal rappelle que malgré qu’un projet d’accord a été distribué aux participants aux travaux du dialogue national pour amendement et que les options ont été levées pour permettre à la CENI de finaliser la révision du fichier électoral, une aile de l’opposition continue à ne pas croire à la sincérité de ce cadre, allant même à appeler le peuple au soulèvement.

La CIRGL va demander au Rassemblement de mettre un peu d’eau dans son vin, d’accepter la petite transition qui débouchera inévitablement aux nouvelles élections au pays, espère le quotidien.

A cette préoccupation soulevée par L’AvenirLa Prospérité craint plutôt une impasse pour les participants à ce sommet de dégager un consensus sur la manière de résoudre la crise congolaise.

Le journal estime en effet qu’autant une bipolarisation s’est dessinée au sein de la classe politique congolaise, autant elle le sera en Angola. Le quotidien part du postulat qu’au niveau de la CIRGL, sont à la tête des pays, les dirigeants dont la prétention de rester au pouvoir le plus longtemps possible ne fait l’ombre d’aucun doute.

Et pris comme tel, tout irait dans le sens de soutenir les résolutions qui seraient issues du dialogue de la cité de l’Union Africaine, croit savoir le journal.

D’autre part, il y a les Nations Unies. Bien que les autres pays en soient membres, il reste que cette institution est guidée par la résolution du Conseil de sécurité où, à l’unanimité, les membres permanents avaient préconisé un dialogue inclusif pour la sortie de crise. Le journal espère face à ce tableau que les participants à ce sommet vont envisager un autre dialogue entre le camp de la cité de l’Union Africaine et le Rassemblement de l’opposition.

Forum des As s’en convainc d’ailleurs en faisant remarquer que le dialogue de la cité de l’OUA est entré en hibernation. D’après le quotidien, il s’observe un silence radio inquiétant du côté du facilitateur quant à la suite à donner à ces travaux. Ce silence suscite d’ailleurs des supputations assorties d’impatience de la part des Congolais, écrit le journal dans ses colonnes.

Face à ce silence, le quotidien conseille le facilitateur à rendre plus dynamique sa politique de communication en expliquant à l’opinion les raisons qui motivent le temps mort observé actuellement au niveau de la cite de l’OUA.

Dans un autre registre, Le Potentiel rapporte que le gouvernement Matata promet de réagir dans les heures ou dans les jours qui suivent à la décision de la Belgique de limiter la durée des visas accordés aux dirigeants détenteurs des passeports diplomatiques de la RDC.

«Le geste des autorités belges aura une réponse appropriée dans les heures ou jours à venir. Soyez en sûrs», a réagi le vice-ministre en charge des Congolais de l’étranger, Antoine Boyamba. Et parmi les réponses du gouvernement congolais à cet affront de la Belgique, Kinshasa envisage notamment de sanctions économiques à l’encontre de l’ancienne colonie, rapporte le quotidien.

Le Phare qui commente cette actualité se demande si Kinshasa dispose réellement des moyens de pression contre la Belgique. Par rapport aux sanctions économiques que la RDC envisage d’imposer à la Belgique, le journal rappelle que sur le plan agropastoral, économico-financier et industriel, le nombre des structures d’intérêts belges s’est fortement réduit depuis les fameux et inoubliables pillages de triste mémoire de 1991-93.

En toute honnêteté, conclut le quotidien,  la RDC dispose actuellement de peu des moyens de pression pour sanctionner la Belgique.

LES PROPOS DE KIKAYA BIN KARUBI ,CONSEILLER DIPLOMATIQUE DE JOSEPH KABILA,TRADUISENT UNE VRAIE PANIQUE DANS LE CAMP KABILA.

LES PROPOS DE KIKAYA BIN KARUBI ,CONSEILLER DIPLOMATIQUE DE JOSEPH KABILA,TRADUISENT UNE VRAIE PANIQUE DANS LE CAMP KABILA.

 

Barnabé Kikaya-bin-Karubi, principal conseiller diplomatique de Kabila qui a visité les Etats-Unis au debut du mois Septembre pour prier les officiels du gouvernement américain de ne pas appliquer les sanctions, a déclaré que l’évacuation des familles du personnel de l’ambassade americaine en RDC va endommager l’économie du pays et pourrait conduire à une confusion dangereuse parmi les civils congolais.

«Nous ne comprenons pas pourquoi ils le font, et nous demandons simplement aux officiels américains de s’abstenir de toute action qui pourrait créer un problème psychologique dans les têtes de la population dans le pays”, at-il dit. Selon Kikaya, le renvoi des familles de personnel à domicile implique que «quelque chose est sur le point de se produire» et poussera le peuple congolais “de commencer à deviner” qu’ils sont en danger.

 

Violences à Kinshasa: l’ONU demande une enquête indépendante

Violences à Kinshasa: l’ONU demande une enquête indépendante

Des pneus brûlés par des manifestants sur une avenue à Kinshasa lors d’une manifestation de l’opposition à Kinshasa, le 19/09/2016. Radio Okapi/Ph. John Bompengo.

Une enquête indépendante sur les récentes violences en République démocratique du Congo (RDC) est nécessaire afin d’éviter une aggravation de la crise entre pouvoir et opposition, a déclaré mardi 27 septembre à Genève une responsable des Nations unies.« Une enquête indépendante, transparente et crédible est nécessaire pour traduire en justice les auteurs et les instigateurs des violences », a déclaré la haute commissaire adjointe aux droits de l’Homme, Kate Gilmore.

Les 19 et 20 septembre, 32 personnes, selon la police, 50 à 100 selon l’opposition, ont été tuées dans Kinshasa au cours d’affrontements en marge d’une manifestation organisée par l’opposition à trois mois de la fin du mandat du président Joseph Kabila pour lui signifier son « préavis » et exiger son départ, le 20 décembre.

Selon Kate Gilmore, le bilan est de 49 civils tués et 127 blessés « semble-t-il par la Garde républicaine, l’armée et la police ». Quatre policiers ont aussi été tués, selon l’ONU.

La crise actuelle remonte à la réélection contestée de M. Kabila en 2011 à l’issue d’élections entachées de fraudes massives. Ses opposants le soupçonnent depuis lors de ne cesser d’œuvrer pour contourner l’interdiction constitutionnelle qui lui est faite de se représenter. Aucune date n’a été annoncée pour la prochaine présidentielle.

« Je peux vous confirmer qu’il n’est pas question de violer la Constitution », s’est défendu mardi Alexis Thambwe Mwamba, le ministre congolais de la Justice et des droits humains, devant le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU à Genève.

« L’élection sera organisée », a-t-il poursuivi, et la date sera arrêtée en coopération avec « les organismes internationaux, dont les Nations unies ».

« Une crise à grande échelle couve », a prévenu Kate Gimore appelant tous les protagonistes de la crise à réagir en faisant « preuve de volonté politique » pour éviter une aggravation de la situation.

(AFP)

Parc de la Garamba: affrontements entre les FARDC et des braconniers étrangers

Parc de la Garamba: affrontements entre les FARDC et des braconniers étrangers

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Plusieurs personnes ont été tuées et d’autres blessées lors d’un affrontement armé entre les FARDC et les braconniers étrangers, appelés «Oudas», ont rapporté dimanche 2 octobre des sources locales, sans donné des chiffres précis. Ces combats ont eu lieu vendredi dernier dans le domaine de chasse d’Azande aux alentours du parc national de la Garamba dans le territoire de Dungu (Haut-Uele).

Cet affrontement est intervenu en pleine journée, au moment où les militaires associés aux gardes de parc de la Garamba patrouillaient dans ce domaine de chasse. La population civile est autorisée à habiter cette zone et à y mener ses activités champêtres et de chasse.

La bataille entre les deux parties a duré pendant environ 20 minutes, ont indiqué plusieurs sources concordantes.

Plusieurs morts et blessés, disent-elles, sont enregistrés tant du côté congolais que d’Oudas.  Parmi les décédées, il y a deux officiers FARDC et des civils habitant le domaine.

La société civile de Dungu a signalé de son côté l’arrivée depuis samedi des militaires blessés à Dungu-centre  pour des soins. Le commandant FARDC de la zone opérationnelle de Dungu, le général Willy Bonane, a confirmé les faits.

Le général Bonane a affirmé cependant que ses unités de combat pourchassaient ces braconniers Oudas, composés des  Tchadiens, Ethiopiens, Soudanais, Libyens et Erythréens. Ces derniers viennent chasser les espèces phares de la Garamba; à savoir: les éléphants, les rhinocéros et les girafes.

Le Rassemblement insiste pour la tenue des élections en 2017

 

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Le Rassemblement des Forces politiques et sociales acquises au changement salue la mission de bons offices qu’a entreprise la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) visant à harmoniser les vues pour une solution apaisée à la crise politique congolaise. Il l’a dit à l’occasion de la remise de son mémo à la CENCO le 2 novembre dernier.

Dans ce document, le Rassemblement reprend point par point ses exigences et recommandations en rapport avec l’accord politique conclu en octobre dernier à la cité de l’Union Africaine.

Soutenant et souscrivant à la démarche de la CENCO, le Rassemblement distingue de façon nette les parties en présence dans ce processus dont d’une part les signataires de l’accord politique de la cité de l’Union Africaine et d’autre part lui-même et « ceux avec lesquels il partage les positions ».

S’agissant des points à discuter, le Rassemblement donne un certain nombre d’indications et expose ses points de vue concernant des points essentiels conclus à travers l’accord politique de la cité de l’Union Africaine, notamment la question du respect de la Constitution de la république et du pacte républicain de Sun City ainsi que le processus électoral.

En ce qui concerne la Constitution, le Rassemblement exige le respect du pacte républicain conclu à Sun-City et celui de la résolution 2277 du conseil de sécurité des Nations Unis.

A propos du processus électoral, le Rassemblement adhère à l’idée que les élections ne peuvent, dans l’état actuel de la situation, se tenir en 2016 et qu’il est impératif de les tenir au plus vite, soit dans le courant de 2017. Les questions liées à l’enrôlement des électeurs, à la séquence des scrutins, au calendrier électoral et à la sécurisation des élections trouvent aussi leur place dans ce document.

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La RDC au “bord de la guerre civile”, estime Ayrault

La RDC au “bord de la guerre civile”, estime Ayrault

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Il l’a dit devant les  étudiants de l’Ecole des affaires internationales de Sciences-Po à Paris.

Le ministre français des Affaires  étrangères, Jean-Marc Ayrault, a déclaré mercredi que la République  démocratique du Congo (RDC) était “au bord de la guerre civile” et invité une  nouvelle fois le président sortant Joseph Kabila à ne pas se représenter.

“La République démocratique du Congo est un très grand pays, avec  énormément de potentiel économique, humain, mais au bord de la guerre civile  (…) parce qu’il y a un président qui est en place et qui veut garder sa place  alors qu’il n’a plus le droit de se représenter”, a dit M. Ayrault devant les  étudiants de l’Ecole des affaires internationales de Sciences-Po à Paris.

La capitale congolaise, Kinshasa, a été secouée les 19 et 20 septembre par  des violences – ayant fait entre une trentaine et une centaine de morts – entre  les forces de sécurité et l’opposition qui exige le départ de M. Kabila. Son  mandat expire fin décembre.

La Constitution interdit à M. Kabila, au pouvoir depuis 2001, de se  représenter, mais le chef de l’Etat ne donne aucun signe de vouloir quitter son  poste alors que le scrutin présidentiel apparaît désormais impossible à  organiser dans les temps.

“Avec la communauté internationale, la France joue son rôle pour tout faire  pour que le dialogue national ait lieu (..) pour que la date des élections soit  fixée et pour que le président sortant, dont on garantira la sécurité – bien  entendu il ne s’agit pas que cela se déroule dans la violence – annonce  clairement qu’il ne se représente pas”, a ajouté M. Ayrault.

Avec AFP

Paris fait monter la pression sur Kinshasa

Paris fait monter la pression sur Kinshasa

François Hollande, Manuel Valls ou encore  Jean-Marc Ayrault ont, en espace de dix jours,fait monter la pression sur le gouvernement congolais en appelant systématiquement “au respect de la constitution” et au départ du président Joseph Kabila.

 

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Le president Fancais Francois Hollande et le Ministre des Affaires Etrangere Manuel Vall

Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, a déclaré aujourd’hui que la République démocratique du Congo (RDC) était « au bord de la guerre civile (…)parce qu’il y a un président qui est en place et qui veut garder sa place alors qu’il n’a plus le droit de se représenter ».

« La République démocratique du Congo est un très grand pays, avec énormément de potentiel économique, humain, mais au bord de la guerre civile (…) parce qu’il y a un président qui est en place et qui veut garder sa place alors qu’il n’a plus le droit de se représenter« , a dit l’ancien Premier ministre français devant les étudiants de l’Ecole des affaires internationales de Sciences-Po à Paris.

Le 26 septembre dernier, c’est l’actuel Premier ministre de la France, Manuel Valls qui appelait le président Joseph Kabila à quitter le pouvoir à l’issue de son mandat.

« C’est un pays [la RDC] immense, avec des ressources importantes et, en même temps, des tensions persistantes dans l’Est et une exploitation insuffisamment contrôlée des richesses. Les prochaines échéances obéissent à des règles constitutionnelles sans équivoque, en particulier la limitation à deux mandats présidentiels consécutifs« , a dit Manuel Valls dans cette interview au magazine Jeune Afrique.

Et d’ajouter: « La Françafrique, c’est terminé ! Pour autant, la France, pays ami de l’Afrique, a à cœur de faire progresser les principes démocratiques, qui sont dans l’intérêt de tous les peuples. Je continue de penser que la France doit assumer ses responsabilités sur le continent africain. La responsabilité de la France, c’est de dire que chacun doit respecter scrupuleusement le cadre constitutionnel, et il faut que des élections soient organisées dans des délais aussi rapprochés que possible. »

La France et les Etats-Unis font pression sur le pouvoir congolais pour une alternance démocratique à la tête du pays, alors que le président Kabila, qui arrive en fin mandat le 19 décembre prochain, est soupçonné de vouloir se maintenir au pouvoir.

La présidentielle qui devait avoir lieu le 19 septembre dernier a été reportée sur demande de la Commission Electorale Nationale Indépendante déposée auprès de la Cour constitutionnelle, occasionnant des violentes manifestations de l’opposition dans les rues de Kinshasa, la capitale.

François Hollande, le président français a aussi appelé au respect de la Constitution en RDC le 19 septembre dernier.

« La Constitution doit être respectée, des élections doivent se tenir. Ensuite nous verrons avec le contrôle international ce qu’il sera possible de faire« , a-t-il dit depuis le siège de l’ONU à New York.